
1.0 – Nous pouvons croire en Dieu
Découvrez la vérité sur Dieu – 555

Jean demandait un jour à l’un de ses amis qui faisait profession d’athéisme s’il lui était déjà arrivé, ne serait-ce qu’une fois, d’envisager que Dieu existe.
« Absolument ! » répondit l’athée, à la grande surprise de son ami. « Il y a quelques années, à la naissance de mon premier enfant, j’ai failli devenir croyant. Quand je me suis penché sur le berceau et que j’ai contemplé ce petit être, fragile et pourtant si parfait, quand j’ai remarqué l’incroyable agilité de ses petits doigts, quand j’ai vu une lueur de reconnaissance dans ses yeux, j’ai traversé une période au cours de laquelle j’ai presque cessé d’être athée. Cet enfant n’a pas été loin de me convaincre qu’il devait y avoir un Dieu. »
1.1 – Pas de dessein sans concepteur
La complexité du corps humain implique l’existence d’un concepteur.
Avez-vous déjà réfléchi à tout ce qu’implique, par exemple, le simple fait de voir? Comparée à la délicate mécanique de la cornée et de la lentille de l’œil, la caméra vidéo la plus avancée ressemble à un jouet.

Le laboratoire le plus sophistiqué ne peut reproduire le processus par lequel les bâtonnets et les cônes changent la lumière en impulsions électro-chimiques. Ce sont ensuite les cellules du cerveau qui transforment ces impulsions électriques en images, par le miracle de la perception. Cette opération ne peut être égalée, même par l’ordinateur le plus performant !
Chaque fois que nous ouvrons les yeux, nous faisons intervenir la chimie, l’ingénierie et la transmission d’information. Charles Darwin lui-même écrivit un jour que l’observation de l’œil, organe censé être le produit de la sélection naturelle, le rendait malade… Voici pourquoi.
L’œil humain ne peut, comme le prétendait Darwin, être le fruit d’une longue évolution, car il serait absolument inefficace, donc inutile, s’il était incomplet. La lentille, dont le rôle est de faire converger la lumière, n’est d’aucune utilité sans la rétine, qui perçoit cette lumière. Pour que le système fonctionne, il faut encore que les fibres nerveuses transmettent les signaux au cerveau.
La vision implique donc un système comprenant un grand nombre d’organes, tous conçus avec soin et interdépendants. Il en va de même pour l’ensemble du corps humain. Les poumons, le cœur, les muscles et les nerfs accomplissent tous des tâches extrêmement complexes dépendant de mécanismes très élaborés.
Il n’est pas étonnant que le Psalmiste en conclue que le corps humain révèle haut et fort un Créateur merveilleux : « Je te célèbre; car je suis une créature merveilleuse. Tes œuvres sont des merveilles, et mon âme le reconnaît bien. » (Psaumes 139:14 – Sauf indication contraire, les textes bibliques cités dans les guides Découverte sont tirés de la Bible, Nouvelle version Segond révisée, 1978).

Nous n’avons pas à aller bien loin pour découvrir les « œuvres » de Dieu. Notre corps lui-même porte la marque de notre créateur talentueux.
Si vous décidiez de numéroter dix pièces de monnaie, de les placer dans votre poche, de les mélanger puis de les retirer une à une, quelle serait la probabilité que les pièces ressortent dans l’ordre exact ? Les lois mathématiques vous disent qu’il existe une chance sur 3,628,800 de voir les pièces sortir de votre poche dans l’ordre, de un à dix.
Considérez maintenant la probabilité de voir un estomac, un cerveau, un cœur, des poumons, des artères, des veines, des reins, des oreilles, des yeux et des dents se développer en même temps et accomplir leurs fonctions au même moment.
Quelle est l’explication la plus raisonnable à la conception du corps humain ? « Dieu dit : Faisons l’homme à notre image selon notre ressemblance. (…) Dieu créa l’homme à son image: il le créa à l’image de Dieu, homme et femme il les créa. » (Genèse 1:26-27).
Le premier homme et la première femme ne sont pas le fruit du hasard. La Bible nous dit que Dieu nous a faits à son image. Il est le grand Cerveau qui nous a conçus et nous a donné la vie.
1.2 – Pas de création sans Créateur
L’existence de Dieu n’est pas seulement révélée par l’admirable complexité des êtres vivants et du corps humain ; le ciel et tout l’univers en témoignent également.

Quittez les lumières aveuglantes de la ville et promenez-vous dans la campagne. Contemplez la voûte étoilée. Cette nébuleuse blanche derrière les étoiles, que nous appelons la Voie Lactée, est en réalité une galaxie où des milliards de soleils semblables au nôtre brillent de tous leurs feux. D’ailleurs, notre soleil et les planètes qui l’accompagnent font partie intégrante de cette Voie Lactée.
Observez maintenant la constellation d’Andromède qui ressemble à un ovale lumineux et brumeux. Derrière la lentille d’un télescope, elle devient, elle aussi, une galaxie en forme de spirale. Tout comme notre Voie Lactée, elle est composée de milliards de soleils.
Andromède n’est qu’une galaxie parmi les cent milliards qui peuplent notre univers et qu’on peut observer au moyen de télescopes géants. Les astronomes sont témoins des déplacements de ces milliards de planètes qui atteignent des vitesses vertigineuses sans jamais se fracasser l’une sur l’autre. D’une manière ou d’une autre, ces mouvements sont synchronisés. Les constellations et leurs planètes ne quittent jamais leurs orbites, effectuées en temps voulu.

Le Psalmiste y voit la main d’un Créateur glorieux : « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains. Le jour en instruit un autre jour, la nuit en donne connaissance à une autre nuit. Ce n’est pas un langage, ce ne sont pas des paroles dont le son ne soit point entendu. » (Psaumes 19:1-3).
Que conclure lorsque nous contemplons la mécanique complexe et la taille gigantesque de notre univers ? « Il (Dieu) est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. » (Colossiens 1:17).
Toute la création le proclame fièrement : Dieu est l’architecte et le créateur de ce monde ! Que nous pensions à l’équilibre parfait des électrons et des protons qui composent les atomes ou à la révolution des planètes autour du soleil, tout nous parle d’un plan magistral, d’un concepteur génial, d’un Dieu créateur et infini.
Quand un anthropologue effectue des fouilles dans le désert du Nouveau-Mexique et qu’il y exhume une pierre taillée en forme de triangle, il commence par l’examiner minutieusement. S’il remarque que le relief original de la pierre a été poli et ciselé, il en conclut qu’un Amérindien a fabriqué cet objet. Il tentera même d’attribuer une date à cette pointe de flèche et de déterminer à quelle tribu indienne elle a appartenu.
Aucun anthropologue digne de ce nom n’affirmera que la pierre s’est transformée par hasard en pointe de flèche. Il n’essaiera pas d’expliquer comment le vent, les éclairs et la pluie l’ont façonnée. Aux yeux de tous, il est évident qu’un être humain l’a fabriquée.
Toutefois, les scientifiques tiennent un discours très différent quand vient le temps d’exhumer des fossiles. Ils considèrent en effet que ces êtres vivants, loin d’avoir été conçus par la main d’un créateur, sont plutôt le fruit d’une évolution sur laquelle ont influé les forces aveugles de la nature.