Découverte-21-

21 – La majorité peut-elle être dans l’erreur?
Découvrez ce qui caractérise le peuple de Dieu

CORRIGÉ

1. Puisque le Sabbat fait partie des Dix commandements donnés au mont Sinaï, cette directive n’existe que pour les Juifs.
– Vrai
– Faux

La loi de Dieu, formulée dans les 10 commandements, est universelle et fait partie de l’Évangile. Son application dans la vie du chrétien est la démonstration que nous sommes actifs dans l’amour de Dieu. C’est une vérité importante! (Lire: 1 Jean 5:3; Marc 2:27-28 )


2. Quand Dieu a donné les Dix commandements au mont Sinaï, il a spécifié d’observer le dimanche comme jour de repos.
– Vrai
– Faux

Dieu a un jour de repos à Lui et Il nous précise que ce jour est le septième jour de la semaine, qui est le samedi (lire: Exode 20:10 ). Le dimanche est le premier jour de la semaine, qui est un jour de repos que les hommes ont décrété.


3. C’est Dieu lui-même qui grava les dix commandements de son propre doigt sur deux tables de pierre.
– Vrai
– Faux

La Bible nous révèle que c’est Dieu Lui-même qui écrivit les dix commandements sur deux tables de pierre. Cela fait de ce texte un écrit particulièrement important pour l’humanité, qu’il nous faut connaître. (Lire: Exode 31:18 )


4. Après la venue de Jésus, Dieu a permis au clergé de faire quelques changements scripturaires mineurs aux dix commandements.
– Vrai
– Faux

À travers la Bible, Dieu est formel: il est interdit d’ajouter ou de modifier quoi que ce soit des commandements divins. Même Jésus était inébranlable à ce sujet. (Lire: Deutéronome 4:2; Matthieu 5:18 )


5. Selon Jésus, aucun trait de lettre ne peut être changé dans les Dix commandements.
– Vrai
– Faux

Jésus savait qu’une puissance satanique espérerait changer le temps du quatrième commandement dans la Loi de Dieu. C’est pour cela qu’il prononça une parole afin de nous avertir de ne pas accepter cela. (Lire: Matthieu 5:18; Daniel 7:24-25 )


6. Quel jour de la semaine Jésus observait-il le sabbat ?
– Samedi
– Dimanche

Selon la coutume juive de son temps, Jésus honora le saint jour du sabbat en se recueillant à la synagogue le samedi, jour que les juifs respectent encore aujourd’hui. (Lire: Luc 4:16 )


7. Dans le livre des Actes du Nouveau Testament, des années après la résurrection de Jésus, les apôtres observaient le sabbat traditionnel des juifs.
– Vrai
– Faux

La Bible relate l’histoire des actes des apôtres et ceux-ci ont toujours été fidèles dans l’observation du saint jour du sabbat. Ils n’ont jamais changé la dévotion de ce jour pour le dimanche ! (Lire: Actes 18:4 )


8. Le sabbat est un jour institué par Dieu et non par les hommes. C’est son jour de repos à Lui, qui est le samedi.
– Vrai
– Faux

Il est assez surprenant de constater que Dieu à un jour de repos à Lui, dans lequel Il désire rentrer dans une relation particulière avec son peuple. Oui, il serait odieux de Lui demander de changer ce jour de rencontre pour satisfaire notre agenda personnel. (Lire: Exode 20:10 )


9. Dieu nous avait avertis qu’une puissance religieuse persécutrice entreprendrait de changer le temps de Dieu dans sa loi.
– Vrai
– Faux

Effectivement, dans le texte prophétique de Daniel 7:25, Dieu nous avait avertis qu’une puissance religieuse persécutrice allait changer le temps de Dieu dans sa loi. L’Église catholique romaine enseigne qu’elle a eu l’autorité de Dieu de modifier la journée du quatrième commandement relatif au sabbat, changeant le temps d’adoration du samedi au dimanche !


10. À la création du monde, Dieu a fait du Sabbat un jour saint. L’Église catholique romaine reconnaît avoir changé ce jour au dimanche.
– Vrai
– Faux

Dans un catéchisme doctrinal écrit par Keenam, on lit ceci: « Question: Y a-t-il une autre manière de prouver que l’Église [catholique] a le pouvoir d’instituer les fêtes ? Réponse: Si elle n’avait pas ce pouvoir, elle n’aurait pu faire ce en quoi toutes les religions concordent. Elle n’aurait pas pu substituer l’observation du samedi le septième jour, pour celle du dimanche, un changement pour lequel il n’y a aucune autorité dans les Écritures. » (A Doctrinal Catechism, Keenam, page 174). (Lire: Matthieu 15:3 )